mercredi 20 février 2013

Cours de turc et café


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  1. (Mehmet). helene, je regarde souvent ton blog. ta joie qui s'y tisse courbe des pétales en moi, mais aussi, plus elles se courbent, tu le sais, plus noir leurs coeurs deviennent, et il me reste, apres tout, n'est-ce pas, seule-ment là tache, noire, mais qui, contre elelle, fleu-fleu-rit. je donne-donnerais tout pour retourner à ce jour où tu m'as dessiné et où je t'ai appris quelques mots utils en turc. je donnerais tout pour retourtourner à la simplicité et à la pureté de ces jours-là, où on s'était rencontrés et vous étiez venues chez nous, lequel est, maintenant, devenuenue un làbyrinthe désaffecté. tu m'avais dessiné, et quelques minutes apres el-le était arrivée. comme j'écrivais ces memes jours devant elle, C., "arriverarrivera, le coin au pétale". et maintenant, "libérée" de son crayon tendu comme un moimoineau motmort, aile n'arrive plus, C., alors qu'elle était autrefois une rive qui se brisait pour me toucher, un pétale et et un coin elle aile était, qui s'arrivaient l'un a l'autre avec un tel douCeur que je ne lales suissuivais qu'avec une bouche bée, et pas seule-ment. et maintenant, apres tout, n'est-Ce pas, apres tout, comme le dit tout homme qui est assez courageux pour se dire que tout ça finira tres mal de toute façon, oui, oui, apres tout, le bouquet d'écumes qui s'imbrique dans la bave ne mouille qu'une Cigarette dont les cendres, écaillées et sans sirene, il faut aimer jusqu'a garder. je suis, dés-or-mais -plus que ça et moins que rien-, un de ces fumeurs qui respire pour ne pas laisser la Cendre tomber -mon souffle carese sa prothese, la fumée, il s'en va pour l'accueillir, c'est le feu-fumée-fleu qui écrit, pas moi-neau, plus de souffle-fleu-fleuve-, pour ne pas l'abandonner, la, puisqu'il n'y a plus que la, là, cendre que je suissuis, à garder, à rester, aux coins loins de mon double, errant jusqu'oublier que j'erre, perdu dans Ce pétalàbyrinthe, sans allumettes, sans les enfances de la quiétude inquiete du petit-feu-moi-neau -comme ce qui est resté d’un rembrandt déchiré en petits carrés bien réguliers,
    et foutu aux chiottes-, l'impossible tache, puisque les cendres féales aiment, fuyant de leur feu-moi essouflé-fleu-fleur pale, descendre, sur les pieds qui tracent les traces, et qui malgré moi, d'etre le seul fou dans un délire à deux, effacent la grace. j'ai essayé de m'abonner à ton blog, mais il faut un compte google pour ça, et je n'en ai plus. si jamais tu voudrais m'écrire (meme si c'est bete de donner son numéro sur internet) : 06 27 05 12 79. je te souhaite les plus beaux jours possibles. amitiés. Mehmet.

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